Grégoire Ngandu, assistant du département social de la maison civile du chef de l’État condamne les propos de l’honorable Christelle NGOYI députée provinciale élue de Mbuji-Mayi lors du déguerpissement de son père l’ancien gouverneur du Kasaï , l’honorable député national Alophonse NGOYI KASANJI de la parcelle qui lui opposait à Gabriel Mokia.
Ternir l’image de l’image de la femme du chef de l’état Denise Nyakeru Tshisekedi qui est aussi sa belle sœur dans une affaire qui ne concernait pas la famille des précités ni de prêt ni de loin.
“Comment une députée provinciale de son état, Mme Christelle Ngoyi n’a pas ménagé aucun effort pour exprimer de la manière la plus viscérale des insultes et invectives dans une affaire judiciaire qui n’a engagé ni de près, ni de loin la première dame de la RDC, qui jusqu’à preuve du contraire n’est jamais intervenue ni entravée le bon fonctionnement de l’appareil judiciaire. Seulement de manière indéfectible, elle accompagne son Mari, président de la République, dans la promotion de l’Etat de droit et l’expression de la démocratie pour l’émergence de notre nation congolaise. Nous sommes touchés et bientôt notre plainte sera déposée déclare Grégoire Ngandu.
Pour rappel, la députée provinciale, Christelle Ngoyi Kasanji avait présenté ses excuses au lendemain de cet incident où il avait tenu des mauvais propos en l’endroit de l’épouse du Chef de l’État.
« Il m’est attribué d’avoir tenue des propos à l’endroit de la très distinguée Première Dame Denise Nyakeru Tshisekedi. En tant que mère et enfant, j’ai beaucoup d’estime à l’endroit de la propre mère ainsi qu’à toute les mères du monde. Je ne peux pas manquer du respect à la très distinguée Première Dame Denise Nyakeru Tshisekedi, si quelque part mes propos auraient vexé la distinguée Première Dame pour qui, j’ai beaucoup d’estime pour preuve sur mon compte Facebook », avait-t-elle déclaré dans une vidéo.
“Je lui demande sincèrement pardon. L’éducation reçue de mes parents et ma foi chrétienne ne me permettent de tenir des propos désobligeants à l’endroit des parents. Chers parents, veuillez me pardonner”, avait-elle renchéri.
Armand NGUL