La cour constitutionnelle siégeant hier vendredi, pour donner suite à la requête d’Albert Yuma contestant son éviction forcée de la présidence de FEC, et celle du président de l’assemblée nationale sur l’interprétation de l’article 101 de la constitution, la haute cour a rendu ses arrêts le même jour.
Albert Yuma Mulumbi se voit donc rétabli dans ses fonctions de président de la Fédération des Entreprises du Congo après sa nouvelle élection, sujet de discorde avec un de ses collègues. La cour constitutionnelle confirme que, l’élection de Yuma qui patronne la FEC depuis plus de 15 ans a été régulière.
Par ailleurs, la mère des cours indique que seul le Tribunal de Grande Instance de Gombe a compétence d’interférer dans les affaires de la FEC, et non le conseil d’Etat qui avait annulé l’élection d’Albert Yuma et organisé une nouvelle élection remportée par Dieudonné Kasembo Nyembo, candidat unique.
Rédaction : Congoactu.net