Le pouvoir… on le désire, on le craint, on s’en protège… « Le sentiment de n’avoir aucun pouvoir sur les gens et les événements est difficilement supportable : l’impuissance rend malheureux. Personne ne réclame moins de pouvoir, tout le monde envie le pouvoir.
Alors qu’il était presenti futur premier ministre après avoir identifié la majorité au Parlement, Modeste Bahati est mis de côté par Félix Tshisekedi, nonobstant son poids politique à l’Assemblée nationale.
En identifiant la majorité au Parlement, Modeste Bahati misait sur l’intérêt personnel, jamais sur la pitié ni la reconnaissance.
Plusieurs fois ministres de la République Démocratique du Congo, Modeste Bahati a bien les connaissances avérées pour occuper le poste du Premier ministre, sauf que les conditions politiques ne l’ont pas permis.
L’homme qui a rendu des bons et loyaux services à la République, a encore un dernier verrou qu’est le Sénat.
Le président de AFDC a longtemps voulu diriger cette chambre haute du Parlement depuis toujours.
L’avenir nous en dira plus car la chance dit-on sourit aux esprits préparés.
Gilbert N.