Le FCC dit prendre acte de la fin de la coalition. Dans la déclaration lue par Néhémie Mwilanya, le FCC affirme son soutien au Premier Ministre et ne se dit pas concerné par le discours du Chef de l’État. Le FCC déclarent qu’ils vont incessamment demander à leur autorité morale Joseph Kabila de donner sa part de vérité sur le discours de Félix Tshisekedi .
La désignation d’un informateur alors qu‘il existe déjà une majorité absolue, constitue une violation de constitution.
Le FCC appelle les ministres CACH à tirer toutes les conséquences sur la fin de la coalition qui entraîne d’office la cohabitation.
Le FCC dénonce l’usage abusif des moyens de l’État par le CACH. Justice, services de sécurité, police, argent de l’État en vue de faciliter la confiscation des libertés publiques, et l’exécution d’un coup d’État constitutionnel .
Conclusions unilatérales du président de la république violent gravement la constitution et servent de prétexte pour liquider par l’instauration d’un régime dictatorial au service d’un pouvoir personnel, les institutions établies à terme des élections le FCC rejette en bloc les annonces du Chef de l’Etat et prend à témoin la communauté internationale .
Pour le FCC, la menace de Tshisekedi de dissoudre le parlement c’est une intimidation .
Le FCC demande les élections anticipées .
Signé le coordinateur Nehemie Mwilanya