« Élections dans le délai constitutionnel, pas de glissement même d’une seule seconde », aime bien le rappeler le ministre d’État Jean-Pierre Lisanga Bonganga, au président sortant Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi, dont le mandat arrive déjà à la fin et s’arrête exactement dans 506.
Le point de vue du ministre Lisanga est désormais partagé dans tous les états-majors politiques rd-congolais : »pas question de laisser à Félix-Antoine Tshilombo Tshisekedi une seule seconde pour glisser ».