La Nouvelle Dynamique de la société civile NDISCI condamne fermement l’insécurité grandissante qui se vit actuellement un peu partout à Bukavu.
Cette structure citoyenne cite des cas récents d’attaques, d’incursions, assassinats des personnes dans plusieurs quartier de la place par des hommes en armes non identifiées.
Celle-ci à travers son vice président Josué Murhula, fait savoir que le matin de ce vendredi 22 avril 2022 ,un corps sans vie d’un homme est retrouvé sur l’avenue hôpital général au quartier NKAFU dans la commune de KADUTU; Le corps de la victime serait découpé à la machette renseigne-il.
Notre source revient sur l’attaque par des voleurs à main armée qui ont tiré des balles à l’endroit communément appelé Carrefour toujours à Kadutu lors de leur opération qui a avorté ce jeudi 21 avril aux environs de 17hoo. Trois de ces hors la loi ont été attrapés et acheminés au parquet de Bukavu.
D’autres attaques ont été signalées au quartier Ndendere dans la commune d’Ibanda le mercredi 20 avril aux environs 1h du matin, plusieurs coups de balles ont été attendus . Ils s’agissaient , selon la même source, des inciviques qui ont tenté d’opérer dans les ménages des paisibles citoyens mais dispersés par les éléments de l’ordre.
Condamnant ces actes, Josué Murhula vice président du bureau urbain de la NDISCI s’interroge: Que font les autorités compétentes pour arrêter des mesures visant à réduire l’insécurité dans la ville de Bukavu ?
Qu’est ce qui empêche l’organisation de bouclage ? Pourquoi seulement à quelques mettre des postes de la police qu’on retrouve des morts ??… Monsieur Josué après cette interrogation indique que le bureau urbain de la NDSCI réclame l’évacuation des véhicules aux postes de la police car selon lui, au lieu que cette dernière fasse très bien son travail, elle est soumise à garder les véhicules des particuliers qui lui donnent une petite somme d’argent en retour.
La NDISCI demande que les enquêtes sérieuses soient menées pour appréhender tous les auteurs de l’insécurité qui ont fuit lors de braquage au Carrefour.
« Nous vivons avec des gens qui circulent avec des armes dans leurs manteaux . Que le bouclage soit mené » ! souhaite notre source qui aimerait voir différentes mesures être maintenues pour la sécurisation de la ville.
Salomon Mubasi