Le Président du Conseil politique National du parti politique de l’opposition Alliance pour le changement, Ghislain Mwanji vient de porter plainte contre les auteurs politique et militaire de la République démocratique du Congo pour abandon du territoire national sous occupé par les rebelles du M23 AFC.
Cette plainte déposée par le Président National du Conseil Politique National d’Alliance pour le Changement Ghislain Mwanji est une preuve de plus de l’instabilité politique qui règne en République démocratique du Congo.
En effet, le transfert des soldats des FARDC de Goma à Kinshasa succite de vives réactions dans le pays et à l’étranger.
Dans sa correspondance parvenue à votre rédaction, ce samedi 3 mai 2025, Ghislain Mwanji dénonce une « complicité tacite » entre le gouvernement et les groupes armés soutenus par des puissances étrangères.
« En permettant le transfert de ses propres forces armés loin du théâtre des opérations, le gouvernement démontre une dimension inacceptable face à l’ennemie et une complicité tacite de pans entiers du territoire national sous contrôle sous le contrôle de groupes armés soutenus par des puissances étrangères « , lit-on dans cette correspondance.
Fac da
« En permettant le transfert de ses propres forces armés loin du théâtre des opérations, le gouvernement démontre une dimension inacceptable face à l’ennemie et une complicité tacite de pans entiers du territoire national sous contrôle sous le contrôle de groupes armés soutenus par des puissances étrangères » a-t-il fait entendre.
« En permettant le transfert de ses propres forces armés loin du théâtre des opérations, le gouvernement démontre une dimension inacceptable face à l’ennemie et une complicité tacite de pans entiers du territoire national sous contrôle sous le contrôle de groupes armés soutenus par des puissances étrangères » a-t-il fait entendre.
Face à ce transfert, Ghislain Mwanji appelle à une enquête parlementaire indépendante pour faire la lumière sur les décisions ayant conduit au transfert des soldats des FARDC de Goma à Kinshasa par le comité international de la croix rouge ( CIR).
Le président du Conseil Politique National d’Alliance pour le Changement ne s’arrête pas là, il exige également la démission immédiate des responsables politiques et militaires impliqués dans cette affaire. Une demande légitime qui pourrait permettre de tirer au clair cette situation et de prendre des mesures adéquates pour éviter qu’elle ne se reproduise à l’avenir.
Enfin, Ghislain Mwanji remet en question la collaboration entre le gouvernement congolais et la Monusco. Cette force de maintien de la paix, présente en RDC depuis de nombreuses années, n’a pas réussi à empêcher la prise de Goma par le M23/AFC.
Il est donc important de réévaluer cette collaboration et de trouver des solutions pour que la Monusco puisse remplir efficacement sa mission de protection des civils et de maintien de la paix. En somme, cette plainte déposée par Ghislain Mwanji est une initiative importante qui met en lumière les manquements du gouvernement congolais dans sa mission de protéger son territoire et ses citoyens.
GM