Un protocole d’accord a été signé entre l’Agence pour le développement et la promotion du projet Grand Inga et la société « natural olfield services limeted » pour mener des études techniques et financières pour la construction d’une des phases du Grand Inga de 7000 MW, a appris mardi l’ACP d’un communiqué.
« Par ce protocole d’accord la société NOFSL s’engage à mener des études techniques, environnementales, sociales et financières pour la construction d’une des phases 7000MW du Grand Inga d’une capacité minimale de 7000MW sur un potentiel de 42.000 MW », a-t-on lu dans le communiqué.
Cet événement, a précisé le communiqué, marque une étape importante dans la matérialisation de la vision du Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, Président de la République, d’accroître le taux d’accès à l’électricité et de renforcer le tissus économique.
Il révèle que le projet de la Société NOFSL, va également construire la fonderie d’aluminium capable de produire 4 millions de tonnes par an. La construction de la fonderie se fera en 8 phases de 500 mille tonnes chacune ; raffinerie d’alumine d’une capacité de 8 millions de tonnes par an; terminal portuaire pour faciliter l’importation des équipements et des matières premières.
La mise en œuvre desdits projets favorisera la création d’environ cinquante mille (50.000) emplois directs et indirects pour la population congolaise.
Le potentiel hydroélectrique du site d’Inga est de 44 000 MW, dont 1775 MW déja installés à Inga 1 et Inga 2.
Le Grand Inga est une série de barrages qui sont proposés sur la partie inférieure du fleuve Congo en République démocratique du Congo (RDC).
